mardi 23 octobre 2007

brassée de soleil en janvier sur la Côte d'Azur

et parfum subtil, entêtant, riche, ... incomparable

jeudi 18 octobre 2007

lundi 15 octobre 2007

Et si je votais Delanoë ?

Le travail qu’a fait Bertrand Delanoë à Paris est à mon sens remarquable ; il est vrai que n’ayant pas de voiture, je ne saurais me plaindre des persécutions qu’il inflige aux automobilistes ! Le jogging en voie sur berge, le dimanche matin, est un vrai bonheur. Les couloirs pour cyclistes, que j’emprunte avec mon scooter aussi peu que possible (ainsi que les couloirs de bus), sont bienvenus ; Vélib est une bonne chose. La ville est presque propre.
Je n’aime pas l’orientation politique de M . Delanoë, moins encore ses choix en matière de politique familiale. Mais si le candidat de la droite n’est pas assez talentueux, assez vert, je voterai Delanoë ; après tout, le décloisonnement que pratique le pouvoir actuel, en recourant à des hommes politiques « de l’autre bord » (j’en suis heureux), peut jouer dans les 2 sens ! Un électeur ‘normal’ de droite peut ‘un petit peu’ voter à gauche, non ? Si cela peut comme à Vienne (Autriche) aboutir à l’interdiction des voitures dans le centre historique, ou comme à Rome, à leur drastique réduction, tant mieux.

Il faudra également renforcer la politique des déchets, et introduire un peu de politique municipale énergétique.

jeudi 11 octobre 2007

Peut-on réformer l'Administration française ? Un point de vue...

Le Président de la République souhaite réformer l’Administration française, pour relancer notre pays.
La situation me paraît ressembler à celle d’un chef d’orchestre, qui voudrait rehausser le niveau de la formation musicale qu’il dirige. Il change le nombre de violons, de trompettes ; il augmente les gages, il modifie les règlements, il améliore les statuts… On met une double épaisseur de molleton aux fauteuils, on améliore la protection sociale des musiciens (tout en diminuant leur nombre).
Mais au fond, le chef d'orchestre ne peut faire que les musiciens sachent leurs notes, qu’ils aiment leur musique, qu’ils veuillent jouer ensemble pour la joie des auditeurs.
Qui pourra faire que les hauts agents de l’Etat veuillent mieux servir l’Etat, le pays, l’intérêt public ? Qu’ils fassent passer = dans leur travail = le Bien Commun avant d'autres considérations? Quelle règle administrative peut "contraindre" les serviteurs de l'Etat, à ... servir vraiment l'Etat ?

mercredi 10 octobre 2007

et voici la terrasse de mon cabanon, à Callian

photo : J Chaboud
Plantes : oliviers, cyprès, cèdre, palmiers Chamaerops humilis, arbousier...

mardi 9 octobre 2007

mon avis sur les tricheurs d'EADS

Voici à peu près ce que je viens d’écrire à ma députée : le Parti communiste vient de demander qu’une enquête parlementaire soit ouverte à propos des malversations commises par les anciens dirigeants d’EADS. Une telle demande eût fait honneur à l’UMP, dont je suis adhérent.
En effet, les Forgeart et compagnie ont tout d’abord manqué à leur devoir d’état, et ont gravement négligé le destin de l’entreprise dont ils avaient brigué la conduite. Ils lui ont même causé du tort.
Ensuite, ils ont joué leur intérêt personnel de façon minable : ils ont vendu en mentant leurs actions dans leur entreprise.Enfin, ils ont tout nié, et se sont donné des airs de grande vertu.
Une telle enquête servirait de leçon aux crapouillots qui sont encore aux commandes. Il n’en manque pas, ni d’ambitieux qui se fichent bien des intérêts qui leur sont confiés.
Egalement, elle prouverait aux Citoyens, que leur pays est réellement sur la voie de son redressement, que l’intérêt public sera enfin géré « en bon père de famille ».
Enfin, elle montrerait que l’Egalité inscrite aux frontons de nos mairies est une réalité : et que les gens ordinaires sont passibles de la même Justice que les gros légumes qui leur sont désignés.

et voici Callian, vu de la maison familliale (qui n'est pas à vendre)


mercredi 3 octobre 2007

Un petit curieux me regarde passer dans la forêt malgache


Un PV surprenant (mauvais stationnement)

Fait divers stupéfiant : une collègue se gare au bord de la plage, en un endroit où le stationnement est totalement permis. L’avenue du front de mer est large, il y a encore de la place à cette heure matinale.Quand soudain sa sœur arrive et lui dit : « Un sabot est posé sur ta roue, tu ne peux plus partir, tu es en contravention ». Louise[1] retourne à sa voiture, et constate que c’est vrai. Bizarre : pas de panneau « interdiction de stationner », pas de marque sur la bordure du trottoir …
Elle s’avise que le policier n’est pas loin, elle discutte, mais il n’en démord pas : en fait, elle s’est garée sur un passage piétons (les « clous » d’autre fois). Mais il n’y était pas à 9h du matin !
Louise a de la chance : elle avise le peintre, en train de marquer un autre passage protégé plus loin. Il reconnaît tout : « oui, il a peint les bandes blanches ce matin, oui, il est passé un peu sous la voiture pour finir le travail jusqu’au trottoir. Non elles n’y étaient pas à 9 heures… ». La police entend cela, mais ne retire pas l’amende…

[1] son nom a été changé