En décembre 2006, maman a cherché une voiture neuve ; après maintes prospections sur la Côte d’Azur (qui n’est pas le plus pauvre marché de France), elle se décide pour une petite Peugeot ; mais voilà : la livraison prendra 4 semaines. Ce sera pour janvier 2007. Bonne Française, maman ne recule pas, elle commande la Peugeot.
En réalité, il en a fallu plus de 8 : la voiture a été « réceptionnée » fin février 2007. Cela veut dire que les constructeurs français ne soignent pas leur marché national. Qu’ils cessent dès lors de pleurer, s’ils cèdent à la concurrence étrangère.
Et que les journalistes le disent et l’écrivent : « Si Peugeot, Citroën et Renault étaient plus assidus pour leurs clients français, leur part de marché intérieur augmenterait. »
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